Qui fait quoi dans nos eaux ?
Dans le seul domaine de la pêche et de l’aquaculture, plus de quarante institutions se chevauchent sur le continent africain, avec des intentions généralement louables, mais une efficacité problématique. Leur ancrage et leur rationalisation étaient au centre de quatre jours de cogitation, fin octobre à Rabat, à l’occasion de la cinquième assemblée générale de APRIFAAS (acronyme anglais de la ‘’Plateforme africaine pour les institutions régionales de pêche, aquaculture et systèmes aquatiques’’). Travaux abrités par la Conférence ministérielle pour la coopération halieutique entre les États africains riverains de l’océan Atlantique (COMHAFAT).